Bamenda 2017
La satisfaction des chefs d’institution
Bamenda, UDs/SIC – 25/04/2017. Satisfaction. Tel est le sentiment qui se dégage de la réunion des chefs d’institutions universitaires membres de la Fédération nationale du sport universitaire le mardi 25 avril 2017 à 15h20 dans la salle des actes du rectorat de l’Université de Bamenda. Malgré quelques désagréments mineurs, les participants ont exprimé au cours de cette évaluation à mi-parcours leur gratitude à Mme le Vice-Chancellor de l’UBa, Prof. Theresia Nkuo-Akendji, d’abord pour l’accueil, ensuite pour le respect de la date des jeux, enfin pour le remplissage du cahier des charges assigné au comité local d’organisation.
Les efforts accomplis par la FENASU ont été salués. Quelques problèmes ont été soulevés, notamment ceux relatifs à l’édition des badges, au respect des délais par les institutions par rapport aux accréditations et au paiement des contributions, à la disponibilisation des trousses médicales, aux pénalités infligées à certaines institutions, etc. Les responsables de la FENASU ont relevé qu’entre les listes de pré-accréditation et celles finalement retenues, il y a parfois eu des changements de noms de l’ordre de 50% des effectifs, ce qui a perturbé l’établissement des badges, doublé du déficit de maîtrise des outils par le personnel accréditeur dans les universités. Pour les délais de paiement, l’exemple de l’Université de Dschang a été relevé parce qu’elle l’a fait à temps. Mais les autres institutions ont rejeté la responsabilité sur des tierces structures. L’on est sorti sans être fixé sur l’effectivité du paiement des pénalités de 500 000 Fcfa infligées à 11 institutions avant le début des jeux.
Pour le reste, les membres de la FENASU ont exprimé leur embarras pour le fait que le bureau exécutif de la fédération leur impose des choses qu’il décide seul. Tous les membres sont convenus de ce qu’il est impératif que des concertations préparatoires inclusives aient lieu afin que les membres de la FENASU prennent des décisions que le bureau se chargera alors d’exécuter. De manière particulière, les institutions privés ont souhaité que l’on inscrive à l’ordre du jour du conseil fédéral l’élection du bureau