Workshop de la FSEG
Sentiment de satisfaction chez les participants
Dschang, UDs/SIC-30/01/2018. Depuis hier, 29 janvier 2018, la salle des spectacles et des conférences de l’Université de Dschang (UDs) vibre au rythme des réflexions et des exposés auxquelles se livrent les spécialistes venus de divers pays d’Afrique et d’Europe. C’est dans le cadre du workshop organisé par la FSEG en partenariat avec l’Association Tiers Monde (ATM), l’Université de Luxembourg et les Laboratoire International INEGALITES associé au CNRS sur la « Pertinence des politiques publiques de développement dans les pays d’Afrique subsaharienne ». Les croisements de verbe ne laissent pas indifférents les participants qui expriment leur sentiments de satisfaction à la fois par rapport à l’organisation et aux travaux.
Makougoum Teuche Kelly, étudiante en Master II, option Économie publique et des ressources humaines, FSEG : « c’est d’abord un honneur de recevoir des étrangers venus discuter des problèmes qui sont communs en Afrique tels que le développement, la santé. Nous avons compris […] qu’il y a toujours un problème de gouvernance, de qui paie, qui bénéficie vraiment, et nous constatons que c’est la même difficulté qu’on a ici au Cameroun. Ce que je tire comme leçon, c’est qu’il y a encore beaucoup à faire. Je compte me spécialiser en économie de la santé, pour moi c’est défi lancé pour pouvoir mettre sur pied un programme de couverture de santé universelle ».
Ngeh Carine Nana, même niveau, option identique : « as a student, I learned so much about what have been said, concerning policies which can be put in place, including the poor household in the banking system. I learned that the government has to include the populations in the taking of decisions, so that the decisions would be reflecting what the populations actually want ». Il est ainsi possible de dire que la FSEG, à travers ce workshop, a réussi un impulse un débat de haut vol sur une question qui est tout toute aussi importante que celle du développement en Afrique en rapport avec les politiques publiques./LP